Lundi 23 septembre 1 23 /09 /Sep 12:41

Cycliste invétéré, je roule tout au long de l’année et apprécie particulièrement les pistes cyclables qui quelques fois passent en forêt.

Un jour je vis un jeune cycliste en panne sur le bord. Je m’arrêtais pour l’aider quand je remarquais son joli cul bien moulé dans son cuissard bleu nuit et entrais aussitôt en érection.

Pendant que nous réparions son vélo il me toucha la bosse, je lui fis un clin d’œil auquel il répondit par un grand sourire intéressé.

Je l’emmenais dans un bosquet et entrepris de baisser son cuissard pendant qu’il me suçait avec application. Je l’interrompais avant d’éjaculer, je le retournais, lubrifiais son anus et le prenais en douceur. Il était tellement excité que j’entrais sans difficulté jusqu’au fond, je limais et ne tardais pas à éjaculer en lui.

En nous rhabillant, je lui demandais s’il passait souvent par cette piste cyclable, il me répondit qu’il empruntait souvent cette piste cyclable et qu’il serait la le lendemain.

Je revenais le lendemain et le retrouvais dans le bosquet, il n’était pas seul mais avec 5 potes de vélo qui à en juger par leurs bosses étaient bien excités. J’enlevais mon cuissard et sautais le jeune minet puis ce fut les 5 autres cyclistes qui s’occupèrent de mon cul, ils me sautèrent et éjaculèrent en mois et pour finir ce fut le jeune qui me prit et éjacula en moi.

Nous avons renouvelé cela durant 3 mois, nous étions à chaque fois 4 ou 5.

Quand je repasse à cet endroit j’entre systématiquement en érection.

Une autre année, alors que j’étais en vacances et que je profitais de la matinée fraiche pour découvrir la région par les sentiers au travers des collines et des bois.

Avançant lentement dans un chemin herbeux et humide, j’ai perdu le contrôle de mon vélo et je me suis retrouvé au milieu d’un buisson épineux qui bordait le chemin.

Je me relevais sans trop de mal, je ramassais mon vélo et je me rendis compte que j’étais en érection ce qui dessinait une belle bosse dans mon cuissard violet.

Je constatais avec stupeur qu’une grande épine était plantée dans mes testicules, je l’enlevais doucement et je me rendis compte avec stupéfaction que cette sensation était très agréable.

Interloqué, j’observais l’épine en question qui mesurait environ 8cm et allais derrière un bosquet, j’avais l’étrange impression d’une présence mais je décidais d’y aller tout de même.

Je baissais mon cuissard, constatais cette magnifique érection et décidais de tenter de me planter de nouveau cette grande épine dans un testicule.

Je prenais donc un testicule, le maintenais bien avec une main, posais l’épine dessus et commençais à le percer, cette sensation était étrangement délicieuse et jouissive, une sorte de brûlure lorsque l’épine transperce les membranes entourant les testicules, puis une douce chaleur qui envahit le corps, je poursuivais jusqu’à ce que je vois l’épine ressortir de l’autre côté. J’étais extrêmement excité par cette vision, cette performance dont je ne me serais pas cru capable et la présence que je sentais toujours ; c’est alors que je décidais de me transpercer l’autre testicule.

Mais pour cela je devais trouver une autre épine, galvanisé par cet exercice je retournais sur le chemin sans me rhabiller pour chercher une branche d’un buisson épineux.

De retour dans le bosquet, je choisissais une autre grande épine semblable à la première et me transperçais avec délectation le second testicule.

L’heure avait tourné et je décidais de continuer ma route, fermement décidé à revenir le lendemain.

Je retirais les épines de mes testicules, la sensation de glissement à l’intérieur était exquise, je bandais toujours aussi dur.

Les deux épines enlevées, je me rhabillais et en profitais pour mettre des orties dans mon cuissard et remontais à vélo avec une magnifique bosse sous le lycra.

Le lendemain après midi, je retournais au même endroit, je sortais une boîte de houseaux et allais derrière le même bosquet.

Je baissais mon cuissard lorsque j’entendis un craquement de brindilles brisées, je me retournais et je vis un jeune cycliste dans un joli cuissard bleu roi, j’étais face à lui le sexe fièrement dressé et curieusement je ne mollissais pas. Ses yeux brillaient, il bandait dur, il me dit qu’il avait observé avec grand intérêt ma performance d’hier, qu’il en avait rêvé toute la nuit et qu’il espérait bien me revoir aujourd’hui.

Il examina mon sexe, me massa les testicules, je le caressais un moment et baissais son cuissard. Je vis une jolie bite plutôt fine mais bien dessinée et bien raide ainsi que deux jolis testicules rasés qui pendaient légèrement et avec lesquels je jouais quelques instants.

Je frottais ma bite contre la sienne et commençais à me transpercer les testicules devant lui, ses yeux brillaient et il était extrêmement excité à la vue de mes testicules transpercés.

J’avais déjà placé 5 houseaux dans chaque testicule lorsqu’il me demanda, tremblant d’excitation et de peur, s’il pouvait essayer.

J’acceptais mais avant je lui demandais de me sauter, je m’appuyais contre un arbre et il me planta sa bite bien raide, excité à l’extrême il ne tarda pas à éjaculer en moi.

Je saisis son testicule droit et le transperça lentement puis fis de même avec l’autre.

Je le laissais respirer un peu pendant que je me plantais encore une dizaine de houseaux, mes couilles ressemblaient désormais à un hérisson.

Je retirais un à un les houseaux plantées dans ses testicules et les miens, lorsqu’il me dit qu’il aimerait recommencer cette expérience.

Je lui dis que c’était assez pour aujourd’hui, nous nous rhabillâmes n’oubliant pas les orties dans les cuissards et nous donnâmes rendez-vous au même endroit à la même heure le lendemain et c’est ainsi que nous avons pratiqué durant 3 semaines de vacances exquises.

L’été suivant, je campais au bord d’un lac dans une pinède et un après midi alors que je me baignais, je vis arriver une voiture qui s’arrêta à quelques dizaines de mètres plus loin sur la berge.

Un jeune homme en descendit et chercha un endroit pour planter sa tante qu’il installa finalement en bordure de pinède.

Je l’observais durant son installation, il devait avoir au plus 25 ans, était assez fin. Il se dirigea vers l’eau lorsque j’en sortais et m’allongeais sur la plage pour sécher et bronzer un peu.

J’imaginais qu’il m’observait de l’eau si bien que j’étais en érection et comme j’avais mis un slip de bain sans doublure cela devait se voir du lac. Le soleil déclinant, je décidais que j’avais assez bronzé et rentrais à mon campement pour ramasser un peu de bois et préparer le feu de camp qui me servirait à cuisiner ce soir.

Je vaquais donc à mes occupations dans la pinède en slip de bain tout en l’observant de temps à autres et je le vis sortir de l’eau quelques temps plus tard vêtu d’un speedo noir du plus bel effet.

Je rapportais le bois collecté à mon campement et retournais en chercher d’autre afin de disposer d’un bon stock. Je commençais à préparer le repas du soir lorsque je le vis quitter son campement et se diriger vers moi, ce qui eu pour effet d’augmenter mon excitation et mon érection.

Il venait me demander si je pouvais lui prêter un tire-bouchon.

Nous avons commencé à discuter de choses et d’autres et bu un verre, il avait remarqué mon membre gonflé et j’avoue que je regardais son joli petit cul avec délice.

Comme d’habitude après dîner, j’allais marcher un peu au bord de l’eau. A mon retour le jeune homme me rapportait le tire-bouchon et il portait un jockstrap noir qui laissait voir ses fesses si appétissantes.

Je lui proposais de s’assoir un moment autour du feu, je lui proposais un café et au cours de la discussion je profitais de ramasser une bouteille mise au frais derrière son siège pour le caresser.

A ma grande surprise il n’eut aucun mouvement de recul, il me lança même un grand sourire qui m’encourageât à aller plus loin et je baissais doucement mon slip de bain découvrant mon sexe en érection.

Il me suça avec une grande application tout en se doigtant si bien que je n’eu aucune peine à le pénétrer et lui enfiler ma bite bien au fond. Son cul était si bon et ses gémissements si excitants que je ne tardais pas à éjaculer.

Dans l’excitation, je le suçais à fond, avalais son sperme et lui proposais un dernier verre.

Le lendemain soir nous dînâmes ensemble et allâmes regarder les étoiles lorsque dans la peine hombre je me pris dans une ronce. Il voulut m’aider à me défaire de ce piège et vit que la ronce était accrochée en haut de ma cuisse et sur mes couilles et fut surpris de voir que je bandais dur.

J’enlevais doucement la ronce et saisis l’occasion pour lui parler de quelques exercices que je pratiquais et lui proposais une démonstration le lendemain soir.

Je m’étais procuré les accessoires nécessaires et faisais comme si de rien n’était mais je n’étais pas du tout sur qu’il viendrait ce soir.

Je me promenais sur la grève lorsque mon complice me rejoignit vêtu d’un body lycra noir du plus bel effet, ce jeune homme était décidément extrêmement sexy.

Nous fîmes quelques pas en se caressant un peu avant de rentrer. Je le laissais s’assoir et l’invitais à se servir un verre puis je lui demandais de baisser mon slip de bain et commençais par placer quelques épingles à nourrisses sur le prépuce et les bourses ce qui eu pour effet de l’exciter au plus haut point.

Je voyais sa verge gonflée sous son body qui m’excitait terriblement, je me plantais ensuite une aiguille dans un testicule, puis pour le tester, je lui tendais une autre aiguille et lui demandais de me la planter dans l’autre testicule, ce qu’il fit avec une grande douceur.

Après quelques secondes d’observation, il a écarté son body libérant ainsi ses parties génitales exhibant une jolie bite dressée et de jolis testicules légèrement pendants. Il m’a alors demandé si je pouvais lui poser quelques épingles au prépuce et sur les bourses. Je luis répondis que je pouvais le faire et je lui posais donc plusieurs épingles à nourrices et constatais qu’il appréciait réellement cet exercice. J’allais prendre d’autres épingles quant il me demanda avec une voix qui dénotait une grande envie et une appréhension certaine de lui percer les testicules.

N’attendant que cela, je ne me fis pas prier et tout en douceur, sans précipitation et en étant attentif à son plaisir et ses réactions, je lui plantais un grand nombre d’aiguilles dans les testicules.

Pendant que mon complice admirait le spectacle de ses testicules transpercés de toutes parts et se masturbait lentement, je sortais de derrière mon siège un morceau de bois ainsi qu’une boîte de clous et un marteau.

Assis devant lui, je posais mes couilles sur le morceau de bois puis clouais mes bourses bien tendues, j’utilisais encore quelques clous que je plantais autour de mes testicules pour les immobiliser.

Pour finir l’exercice, sous le regard admiratif et envieux de mon complice, je me plantais un gros clou dans chaque testicule sous.

Galvanisé par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux, mon complice continuait à se  planter des aiguilles dans les testicules, il devait en avoir une trentaine dans chaque testicule.

Nous avons joué ainsi durant dix jours.

 

Depuis ces vacances, je porte régulièrement un slip de bain plein d’orties et je continue à me percer les testicules.

J’utilise souvent des aiguilles et il m’arrive aussi de me les clouer sur un morceau de bois.

 

Contact : extreme38.securite@gmail.com

Par extreme38
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